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Nouveau coopérateur pastoral dans notre Communauté des paroisses.
Bienvenue SERGE dans notre équipe!
Né le 15 septembre 1972 à Strasbourg et baptisé 2 mois et demi plus tard à Fegersheim, j’ai grandi avec ma famille à Lipsheim.
En 1995 j’ai obtenu un BTS en informatique industrielle et, après mon service militaire, j’ai été embauché par l’entreprise Paul Hartmann à Châtenois en tant qu’informaticien. J’y ai travaillé jusqu’à aujourd’hui.
J’ai rencontré Caroline en 1995 et nous nous sommes mariés le 18 juillet 1998 à Lipsheim. Nous avons emménagé à Fegersheim en 2001.
Mon chemin de foi auprès de notre communauté de paroisses m’a amené à recevoir le sacrement de la confirmation le 19 mai 2024, jour de la fête de la Pentecôte, et à accepter de m’engager dans la mission de coopérateur pastoral.
Je suis heureux de pouvoir me mettre au service de notre communauté, sous la responsabilité de notre curé le père Stanislas Kupczak, et à collaborer avec vous pour le bien de notre communauté et la plus grande Gloire de Dieu.
Rami HINDO nouveau prêtre
La messe de prémices est la première messe d’un nouveau prêtre qu’il dit après son ordination. Souvent cette messe est dite dans la paroisse, où le nouveau prêtre a grandi. Prémices signifie une première manifestation de quelque chose d’important.
Rami HINDO, ordonné prêtre le 30 juin dernier en la cathédral Notre-Dame de Strasbourg.
Français depuis quatre ans, né à Bagdad en 1992, Rami y passe son baccalauréat.
Arrivé en France fin 2010 avec ses parents, et après une année à Senlis pour régulariser sa situation administrative, il s’installe avec ses parents en Alsace et suit pendant deux ans des cours de Français à l’institut international d’études françaises. Déjà en 2014, il nourrissait le désir d’entrer au Séminaire, mais ce ne fut pas possible à ce moment-là. Il se lance donc dans une licence de langue, culture et civilisation orientales avec le projet de devenir traducteur. Mais dès sa licence obtenue en 2017, il entre en septembre en propédeutique, une année de discernement et de fondation spirituelle. Un an plus tard, en septembre 2018, il entre au séminaire. Il obtient en 2024 une maîtrise en théologie.
Depuis son ordination diaconale, l’année dernière, il est dans la communauté de paroisse des Boucles de la Souffel (Souffelweyersheim et Reichstett), et vient d’être nommé vicaire après son ordination sacerdotale dans cette même communauté de paroisse.
Qu’est-ce que le Carême ?
Le Carême commence le Mercredi des Cendres, mercredi 14 février 2024, et s’achève le Jeudi Saint, le jeudi 28 mars 2024, avant la célébration de la Cène du Seigneur. La Semaine Sainte, qui commence avec le dimanche des Rameaux le 24 mars 2024, commémore la Cène, la Passion et la mort du Christ sur la Croix. Le Samedi Saint au soir et le dimanche de Pâques, le 31 mars 2024, les chrétiens célèbrent la résurrection du Christ.
La durée du Carême – quarante jours sans compter les dimanches – fait en particulier référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert entre son baptême et le début de sa vie publique. Ce chiffre de quarante symbolise les temps de préparation à de nouveaux commencements.
Un temps de conversion. Au désert, le Christ a mené un combat spirituel dont il est sorti victorieux. À sa suite, il ne s’agit pas de faire des efforts par nos propres forces humaines mais de laisser le Christ nous habiter pour faire sa volonté et nous laisser guider par l’Esprit. Durant le temps du Carême, nous sommes invités à nous donner des moyens concrets, dans la prière, la pénitence et l’aumône pour nous aider à discerner les priorités de notre vie. Le temps du Carême est un temps autre qui incite à une mise à l’écart pour faire silence et être ainsi réceptif à la Parole de Dieu.
Pourquoi jeûner pendant le Carême ? Jeûner c’est se priver momentanément de quelque chose qui nous est nécessaire ou très agréable pour se donner le temps de retrouver l’essentiel. Dans l’exemple du jeûne alimentaire, l’homme a besoin de nourriture sous peine de mourir de faim. Mais il peut choisir de ne pas se nourrir tout de suite.
Qu’est-ce que le jeûne ? Le jeûne nous permet de mieux connaître ce qui nous habite. Quels sont nos désirs les plus profonds ? Le jeûne a pour but de donner soif et faim de Dieu et de sa parole. Il n’est pas seulement un geste de pénitence, mais aussi un geste de solidarité avec les pauvres et une invitation au partage et à l’aumône. C’est une privation volontaire de ce qui nous rassasie : un peu de nourriture peut-être, mais aussi de ces redoutables pièges à désir que sont le tabac, l’alcool, la télévision, l’ordinateur… Tout ce qui met notre vie sous la tyrannie de l’habitude et du besoin.
Le Carême n’est pas un temps de tristesse, bien au contraire ! Il s’agit de préparer la fête de Pâques c’est à dire de la Résurrection du Christ d’entre les morts, de la victoire de la vie sur la mort. Le renouveau de la prière, l’insistance sur le partage et l’entraînement à la maîtrise de soi, tout spécialement recommandés pour le temps du Carême, nous invitent à la joie. Toutes les démarches du Carême chrétien sont vécues dans une atmosphère de simplicité et de joyeuse espérance, afin de nous ouvrir au Seigneur Ressuscité qui apporte la lumière et le salut.
Pourquoi jeûner pendant le Carême ? Avant que le manque de nourriture ne devienne une trop grande gêne, il a le temps de se rappeler que le repas nourrit son corps, comble son ventre, mais qu’il a d’autres besoins à combler. Jésus pendant ses 40 jours de jeûne au désert dit : Il est écrit que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui vient de la bouche de Dieu.
Prendre Jésus au mot et imaginer des Paroles qui peuvent nourrir le cœur avant que la nourriture ne remplisse le ventre. Prendre conscience de la chance que l’on a de pouvoir se nourrir quand d’autres dans le monde ont faim et prendre le temps d’un remerciement (c’est le sens de la prière du Benedicite, prière que l’on dit avant de se mettre à table). Attendre celui avec qui l’on doit partager le repas et préparer son cœur à l’accueillir. Penser à celui que la misère privera de repas et préparer une forme de partage. Méditer sur ce qui nous manque autant que le pain : quel soin prend-on de ceux que l’on aime, savent-ils qu’ils comptent pour nous ? Écouter la Parole de Dieu qui peut nourrir notre cœur. Prendre le temps de prier et de confier à Dieu ce dont notre cœur a faim.
La source : https://eglise.catholique.fr/
Quelle est la signification de l’Avent ?
Le temps de l’Avent (du latin adventus, « venue, avènement ») s’ouvre le 4ème dimanche précédant Noël.
L’Avent est la période durant laquelle les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement inouï, et décisif pour l’humanité, puisque Dieu s’est fait homme parmi les hommes : de sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en toute la condition humaine, à l’exception du péché.
Chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des Prophètes, qui retentit en chaque liturgie dominicale de l’Avent, redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur, comme le rappellent également les autres lectures de la messe.
Le début de l’Avent marque aussi l’entrée dans une nouvelle année liturgique : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s’achever une année plus tard à la même période.
L’Avent, comme l’ensemble du calendrier liturgique catholique, aide les fidèles à revivre les grands événements de la vie et de l’enseignement du Christ, en particulier de sa naissance (Noël) à sa Résurrection (Pâques). L’Église relit et revit donc « tous ces grands événements de l’histoire du salut dans » l’aujourd’hui » de sa liturgie »
Lorsque Jésus dit : « qui s’abaisse sera élevé » …
il ne dit pas qu’il faut se rabaisser. Jésus était conscient d’être le Fils bien-aimé de Dieu. Dieu le Père l’avait confirmé dans cette dignité lors de son baptême dans le Jourdain : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui je trouve ma joie. » (Mt 3, 17) Et c’est précisément parce qu’il était convaincu de sa dignité que Jésus était capable de s’abaisser au niveau d’un simple être humain – même le plus misérable – sans se sentir « rabaissé ». Nous sommes appelés à devenir comme lui. Souvent, c’est lorsque l’on doute de sa valeur que l’on essaie de la prouver à soi-même et devant les hommes. Mais, lorsque l’on est convaincu de sa valeur aux yeux de Dieu, on peut se libérer de la peur du regard des autres et, comme Jésus et tant de saints, mettre nos talents au service des autres avec simplicité, dans n’importe quel milieu social.
Récital Jean-Sébastien BACH par le père Jean Sébastien LAVENS
Concert d’orgue le 10 septembre 16h à l’église de Fegersheim
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Votre don en espèces ou par chèque peut être déposé dans la boîte aux lettres du presbytère, dans le panier de quête lors de la célébration dominicale ou à tout autre moment selon votre convenance.
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